La tête dans le guidon, j’avais annulé le renouvellement de mon précèdent hébergeur pour repasser sur siteground, mais j’ai complètement loupé la date anniversaire. Résultat site supprimé, j’avais quelques sauvegardes mais rien de très récent, j’ai donc perdu quelques articles, même si je n’avais pas été très productif depuis le début 2021.
Quoiqu’il en soit le site est de nouveau disponible, et après ce petit coup de mou, je compte bien reprendre dès que j’aurai le temps, car malgré l’apparente inactivité du site, ça n’arrête pas de mon côté et les projets vont bon train.
D’ailleurs, je vous laisse, je suis passé à côté des dernières annonces sur nos éditeurs préférés, je vais essayer de rattraper tout ça…
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J’ai récemment obtenu la certification Nutanix Certified
Master – Multi Cloud Infrastructure, l’occasion pour moi de revenir sur mon
parcours de certification Nutanix.
Ma première sur le sujet remonte en 2018 avec la Nutanix Platform Professional, à l’époque, l’examen se passait déjà en ligne, avec la possibilité d’utiliser internet et la documentation, ce qui se rapproche plus de notre travail quotidien avec google à porté de main. Finalement ce modèle a été abandonné, il posait aussi de vrais soucis, car l’identité de celui qui passait l’examen n’était pas vérifiée.
Ce point n’est aujourd’hui plus du tout un problème même si vous passez les
examens à distances, car Nutanix s’appuie sur la plateforme PSI et vous allez
voir qu’ils ne prennent pas ça à la légère, j’ai même le sentiment que c’est de
plus en plus strict.
L’outil principal pour se former aujourd’hui est Nutanix University qui vient d’ailleurs de subir un petit lifting, le site est plus accessible et pratique à suivre, certaines sections sont traduites progressivement en français même si les examens se passent en anglais.
L’accès à la Nutanix University nécessite d’avoir un compte my.nutanix et la
quasi-totalité du contenu est gratuit ! Il y a maintenant 4 niveaux
d’expertises, dès 6 mois à 1 an d’expérience, jusqu’aux certifications les plus
avancées. De nouveaux programmes ont fait leur apparition avec des parcours,
orientés End User Computing, DevOps, Multicloud et Datacenter Services.
Lorsque vous aurez étudié tous les points d’un des plans de formations,
essayez de parcourir l’ensemble des points des BluePrint de certifications: il
s’agit de documents qui résument point par point ce qu’on attend de vous et ce
que vous devez maîtriser pour la certification. C’est un outil indispensable,
qui permet de savoir exactement ce qu’on attend de vous, ce que vous devrez
réviser.
Ensuite, il est temps de s’inscrire et planifier votre certification
(attention les horaires sont au format Anglais, si vous arrivez 30 minutes en
retard, votre certif est fichue) . Pour passer l’examen à distance, vous devrez
installer leur outil qui permet de surveiller votre machine afin d’éviter toute
forme de tricherie ou d’enregistrement de la session.
N’hésitez pas à arriver 30 minutes avant le début de votre examen comme
recommandé, car la procédure de sécurité peu être assez longue :
vérification de votre pièce d’identité.
Vérification de la salle, avec votre webcam, vous allez devoir montrer, les
4 murs, un bureau vide, avec un seul moniteur, pas d’enceintes.
Concernant les conditions, si quelqu’un rentre dans la pièce, l’examen est un échec, pensez à vous enfermer. Vous ne devez pas avoir de stylo, ni de téléphone, ni de smartwatch, ni d’écouteurs. Il est interdit de manger même un chewing-gum ou un bonbon, boire, parler, de chuchoter, il ne faut pas se masquer la bouche, j’ai par exemple l’habitude de me coiffer la barbe pendant que je réfléchis, et le surveillant m’a déjà mis l’examen en pause pour me demander d’arrêter de masquer ma bouche.
Avec plus d’une dizaine de certifications, j’ai exploré les différentes branches que ce soit celles orientées administration, architecture, mais aussi avant-vente ou service. Ayant participé à de nombreuses bêtas et c’est devenu pour moi un moyen de régulièrement mettre à jour mes connaissances, car les innovations apparaissent très régulièrement. Comme beaucoup d’éditeurs, l’obtention d’une certification débloque le badge associé sur Acclaim, ce service permet entre autres, la vérification d’authenticité et de la date d’obtention de la certification, voici ma page pour se faire une idée : https://www.youracclaim.com/users/matthieu-gioia/badges
Je ne peux qu’encourager les plus curieux d’entre vous à essayer le nouveau
parcours Nutanix Certicied Associate, qui est le programme pour commencer à
bâtir une carrière dans la technologie multicloud.
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Suite à la consolidation de plusieurs clusters VMware, nous avons modifié en masse plusieurs dizaines de volumes afin de les présenter en respectant notre nouvelle organisation.
Après cette modification, 2 datastores (un par baie) sont passés inaccessibles, en lieu de place de ceux-ci, je me retrouvais avec un volume étrange de quelques Ko. L’administrateur du stockage m’assurait ne pas me présenter une autre volume.
Après plusieurs heures de recherches infructueuses : APD, hôte qui aurait verrouillé l’ancien volume, VMFS corrompu, mauvaise mapping SAN…
Il s’avère que le persona VMware HPE (VMware host persona 11), est compatible avec VMware vVols sans intervention particulière, mais il se réserve le LUN ID 256 pour faire fonctionner le “Protocol Endpoint” (PE), qui est un LUN technique qui permet de gérer les I/O :
Il faut savoir que sur ce type de baie 3PAR et j’imagine d’autres modèles du même vendeur, il ne faut en aucun cas utiliser le LUN ID 256. Sur d’autres modèles de SAN, compatible vVols il faudra se renseigner sur le LUN ID associé au PE.
Le support HPE a confirmé qu’il n’est pas possible de désactiver ce LUN.
Une fois l’ID de nos volumes en erreur modifié , un simple rescan pour monter les volumes VMFS et tout est rentré dans l’ordre.
Si vous rencontrez ce message d’erreur sur vos ESXi, vous utilisez sûrement vSphere Replication. Habituellement, les journaux d’événements des ESXi sont remplis d’événements “User root@127.0.0.1 logged in as hbr-agent” ou en français “L’utilisateur root@127.0.0.1 est connecté en tant que hbr-agent”.
J’ai récemment été contraint d’activer le lockdown mode. C’est une fonctionnalité de verrouillage qui permet d’éviter les interactions directes avec l’ESXi et ne permet son administration qu’au travers du vCenter.
Cet article de VMware détaille bien mieux que moi le fonctionnement des deux modes de verrouillage.
Mais vous l’aurez compris, vSphere Replication ne semble pas vouloir utiliser le vCenter et se connecter directement en root sur les ESXi.
Ajouter le root en exception, comme on me l’a proposé, équivaut pour moi à l’annulation du lockdown mode.
Après des semaines de bataille avec le Global Support Services, où ils m’étaient en cause des vibs HPe présentent sur les builds, le ticket est maintenant escaladé auprès des développeurs.
Je suis pour ma part assez surpris d’en arriver là. L’utilisation conjointe de vSphere Replication et Lockdown mode doit vraiment être exceptionnelle pour que le “bug” ne remonte que maintenant au dev. D’autant plus que j’utilise vSphere Replication depuis des années et l’utilisation du compte root me semble présent dans son ADN depuis un moment.
N’étant pas particulièrement fan du lockdown mode, j’ai prévenu le support qu’une simple déclaration officielle incompatibilité avec vSphere Replication m’irait très bien. Je mettrais à jour cet article lorsque j’aurais du nouveau. En attendant, j’ai temporairement une exception pour la désactivation de cette fonctionnalité.
Update 1er Septembre du GSS : “There is no impact to replication jobs with lockdown mode enabled. It will cause extra logging in vCenter. No workaround at present for the extra logging. Recommendation is to disable Lockdown mode”.
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